{1} Nous ne changeons pas une syllabe à la lettre de Nelson, que l’on doit accepter comme une pièce historique de la plus haute importance, puisque c’est elle qui décida Ferdinand IV à faire la guerre à la France.
{2} L’auteur a sous les yeux, au moment où il écrit ces lignes, une gravure du temps qui représente l’entrée de ces malheureux ; inutile de dire que, dans les quatre ou cinq derniers chapitres, on ne s’est pas un seul instant éloigné de l’histoire.
{3} Nous citons les paroles textuelles de Nelson : « The napolitan officers have no lost much honour, for God knows they had but little to lose ; but they lost all they. » Dépêches et Lettres de Nelson, t.V, page 195.
Au reste, nous dirons bientôt ce que nous pensons du courage des Napolitains, dans le chapitre où nous traiterons du courage collectif et du courage individuel.
{4} Nous ne changeons pas un mot au texte de cette proclamation, une des pièces historiques les plus impudentes, peut-être, qui existent au monde.
{5} On trouvera bon que, dans la partie historique, nous citions les noms réels, comme nous ayons fait pour le colonel Gourdel, pour l’aide de camp Claie, et comme nous le faisons en ce moment pour le capitaine Tremeau. Ces noms prouvent que nous n’inventons rien, et ne faisons pas de l’horreur à plaisir.
{6} Saint-Germain en Laye : Sanctus Germanus in Ledia.
{7} Inutile de dire que l’auteur a entre les mains tous les autographes de ces billets.