Tel est le domaine, sans rival au monde, dont Max Réal parcourut les vallées, les cañons, les fonds lacustres, allant de merveille en merveille, d’admiration en admiration. Dans cet angle du Wyoming, arrosé par le Fire Hole et le Yellowstone supérieur, dont le sol frémit sous le pied comme les tôles d’une chaudière, se mélangent, s’amalgament, se combinent, les substances telluriques sous l’action des feux internes inépuisablement alimentés au foyer central, et dont les mugissements s’échappent par mille bouches. Là se produisent les phénomènes les plus inattendus, semblables à ces effets scéniques d’une féerie provoqués par la baguette du magicien, au milieu des prodiges de ce Parc National du Yellowstone, dont on ne saurait trouver l’équivalent en n’importe quelle autre contrée du globe.