{1} Au Théâtre artistique, à Moscou, on donne à Charlotta Ivanovna un accent un peu étranger. (N. d. T.)
{2} Exactement : Pétia, diminutif de Piotr. On peut substituer ce nom-là partout où nous avons cru pouvoir mettre Pierre ; cette forme française, dans la bouche des principaux habitants de la Cerisaie, aurait à peu près la même qualité d’affection familière que Pétia. (N. d. T.)
{3} Diminutif de Léonid. (N. d. T.)
{4} Allusion polémique au célèbre discours de Satine dans Les Bas-Fonds de Gorki (1903) qui déclare : « Homme… Mot admirable, cela sonne fièrement ! »
{5} « Mon frère, mon frère qui peines. » Citation inexacte du début du poème de S. Nadson Mon ami, mon frère, mon frère las et à la peine… (1881). La suite (« viens sur la Volga dont le gémissement… ») est une citation du poème de N. Nekrassov, Réflexions sur le perron.
{6} Il veut dire Ophélie, et, en citant ce nom-là d’après une pièce très populaire d’Ostrovski, il lui donne une déformation plaisante qui évoque une idée d’ivrognerie. (N. d. T.)
{7} Charlotta dit ces mots en allemand : Ein, zwei, drei ! (N. d. T.)
{8} Romance de N. Rjevskaïa (1869).