Ebooks gratuits * Livres électroniques gratuits * Free ebooks
Les commentaires sont soumis à modération et n'apparaissent sur la page qu'après validation
FéVAL, PAUL : Les Habits Noirs - Tome I - Romans Policier & Mystère
Ce cycle de huit romans, publiés de 1863 à 1875, est à rapprocher de la série des Rocambole de Ponson du Terrail, qui connaissait un grand succès depuis 1857. Il a été popularisé par une série télévisuelle datant de 1967, du temps de l’ORTF... Les «Habits noirs» est le signe de l’appartenance aux classes «élevées» de la société et en même temps le surnom donné à une bande criminelle réelle qui agissait à Paris dans les années 1830, et qui fut jugée lors d’un procès à sensation en 1845. Ce surnom, les membres de la bande l’avaient acquis en raison de leurs manières raffinées et de l’apparence de respectabilité qu’ils avaient endossée. Ainsi est doublement mise en avant par Féval l’hypocrisie sociale, l’éternelle comédie grinçante d’une société pervertie par l’absence de valeurs, où le crime règne sous le masque même de la loi et de l’ordre, les rongeant ainsi de l’intérieur.
La bande criminelle les «Habits Noirs», dirigée par Lecoq, le bras droit du colonel Bozzo-Corona, le «Maître à tous», organise le vol de la caisse du banquier Bancelle, en 1825, tout en montant une machination compliquée destinée à égarer la justice sur un faux coupable (manoeuvre que les Habits noirs appellent «payer la loi», et qu’ils renouvelleront à chaque épisode). Ce faux coupable est André Maynotte, sur lequel Lecoq satisfait ainsi une ancienne vengeance. André Maynotte est condamné, mais réussit à s’enfuir...
Édition Ebooks libres et gratuits.
Mobipocket : 869 Ko | eReader : 702 Ko | PDF : 1,6 Mo | Source Word : 712 Ko | HTML : 2 Mo | Sony Reader : ++ | ePub : 603 Ko Parution le 02/03/2006
QR code pour le format epub utilisable avec votre smartphone (téléchargement «automatique») :
- Pimali le 31 21:39:17/12/2007:
Attirée par le nom de Paul Féval, j'ai commencé le premier tome des Habits Noirs avec enthousiasme. Habituée à lire des textes du XIXè, le vocabulaire surrané ne m'a pas gênée, malgré l'usage récurrent d'un argot souvent hermétique aujourd'hui.
Mais que c'est long! Que de digressions sans objet! Comme certains personnages sont mal amenés! Les curieux bonshommes nommés Echalot et (j'ai oublié....) arrivent comme par magie, on ne sait d'où il sortent ni ce qu'ils font. Laborieusement, Féval tente de renouer ses fils épars et échevelés, tentant par des nœuds compliqués de rendre son récit cohérent. J'avoue avoir renoncé à pousser plus loin que la moitié du roman, bâillant d'ennui au point de sauter des pages et de courir à la dernière pour voir comment le héros, contre qui le destin et les quiproquos s'acharnent, s'en tire.
Même la fin est loin d'être claire...
Monsieur Féval a écrit mieux, beaucoup mieux!
Vous pouvez ajouter un commentaire en utilisant le formulaire suivant.